Comment dépasser les horreurs vécues pendant la Première Guerre Mondiale et se porter vers le monde avec amour et joie ?
Sa quête d’un esprit libre pour qui il ne serait question de se soumettre le guide vers Nadja. « J’ai vu ses yeux de fougère s’ouvrir le matin sur un monde où les battements d’ailes de l’espoir immense se distinguent à peine des autres bruits qui sont ceux de la terreur et, sur ce monde, je n’avais vu encore que des yeux se fermer ».
On retrouve à travers les signaux adressés par Nadja, l’appel du grand large de Friedrich Wilhelm Nietzsche (1844-1900) l’océan ouvert sur tous les futurs désirables, souhaitables ou plus simplement possibles.